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diamant de synthèse bruts

Diamants de synthèse : l’argumentaire éthique et écologique

Cet article a été écrit par Alexandre Martin. Il fait partie du dossier “ENSURE THERE IS NO DOUBT” – Diamants naturels et synthétiques, une histoire en feux croisés.

Éthique

Depuis 2006, et la parution du film « Blood Diamonds », qui avait fait fortement réagir sur la question des « diamants de conflits », la filière diamantaire a renforcé ses systèmes de certification de l’origine, permettant une traçabilité du diamant brut, depuis sa mine jusqu’à sa taille et à son vendeur final : ces 15 dernières années, les diamants de conflits injectés sur le marché sont ainsi passés de 15% à moins de 1% !

En plus du SCPK (KPCS en anglais), le Système de Certification du Processus de Kimberley créé en 2003 (origine) et du système de « Blockchain » (traçabilité) en cours d’instauration systématique, comme par ex. le TRACR, les questions liées aux « RSE », Responsabilités Sociales et Environnementales (« ESG », Environmental, Social, and Governance ) étaient un autre enjeu majeur, mis encore davantage en relief par l’arrivée massive des diamants synthétiques sur le marché et leur marketing agressif axé sur la carte éthique et surtout écologique de leur production.

Dès 2005 la filière diamantaire avait déjà implanté des principes éthiques, environnementaux et sociaux dans ses contrats entre ses miniers et ses clients, avec par exemple De Beers Group qui contractualisait avec ses client la nécessité d’adhérer à ses « Best Practice Principles » (BPP Assurance Program ou BPP’s (4) ) et de les faire appliquer à tous les niveaux de l’activité diamantaire, visant à procurer au consommateur de la transparence sur l’univers du diamant, ainsi que l’assurance du respect de ses acteurs des principes fondamentaux précités plus haut ; la filière  met aussi en place un standard universel, le RJC (5),« Responsible Jewellery Council » System, auquel chaque entreprise liée aux métiers des pierres précieuses et fines (qui impliquent presque toujours l’usage de diamants), peut adhérer.

De même en fin 2005 était lancée la Diamond Development Initiative (DDI) par des représentants de la société civile, de l’industrie et des gouvernements (ONG « RESOLVE », CRAFT, OCDE, ONU, UE, ONG « GLOBAL WITNESS », etc.) pour aborder et tenter de solutionner les problèmes rencontrés par les mineurs artisanaux en Afrique et en Amérique du Sud (6).

Si les Membres de la DPA, la « Diamond Producers Association » (renomée en Juin 2020 le Natural Diamond Council ou « NDC » ) représentent plus 75% de la production mondiale de diamants, et œuvrent activement à positionner l’image du diamant naturel dans le cadre des enjeux de notre nouveau millénaire (RSE, respect des travailleurs, santé, sécurité, développement durable, etc.), la réalité et les défis inhérents à l’exploitation minière artisanale et à petite échelle (ASM-Artisanal and Small-Scale Mining) représentent aussi un enjeu considérable également pris en mains par la filière diamantaire. On estime en effet que l’ASM totalise environ 15% de la production mondiale de diamants en volume et 5% en valeur !

Par exemple en Juillet 2020 était signé un accord majeur, soutenu et salué par le WDC (World Diamond Council), entre la De beers Group’s GemFair initiative, le GIZ (l‘agence de coopération internationale allemande pour le développement) et le MRU (the Mano River Union) pour le lancement d’un programme de sensibilisation et d’application de standards de sécurité et de responsabilisation dans la pratique minière des ASM avec les membres du MRU du Sierra Leone, du Liberia, de la Guinée et de la Côte d’Ivoire.

Ces programmes, en plus des contraintes qu’ils imposent sur les domaines précités, s’attachent à contrer également les pratiques liées à toutes les formes d’exploitations et de trafics humains, évidemment comme l’emploi des enfants, mais aussi des conditions contractuelles des employés, des conditions de travail, du statut éthique et social de l’individu…

Selon Trucost ESG Analysis, Rapport « Total Clarity » (7), « les membres de la DPA (NDC) apportent plus de 16 milliards de dollars en avantages socio-économiques et environnementaux, via leurs opérations d’extraction de diamants. Le rapport montre que la grande majorité de ces avantages sont réinjectés dans des communautés, passant par l’emploi local, l’achat de marchandises et de services, les impôts et redevances, les programmes sociaux et l’investissement dans des infrastructures. Le rapport révèle également que les membres de la DPA paient leurs employés et sous-traitants environ 66 % au-dessus des salaires nationaux moyens et que les sociétés consacrent des ressources importantes à la formation des employés, afin de disposer d’une main-d’œuvre très qualifiée” (8).

La plupart des grands groupes du luxe sont désormais membres du RJC, et son adhésion systématique devient petit à petit une nécessité pour tous les acteurs du Luxe.

Le 21ième siècle s’impose en effet comme celui d’une remise au point vitale sur les questions de l’éthique et de la Transparence dans les pratiques commerciales, mais aussi et très fortement sur les questions du Développement Durable (Sustainability) et plus généralement de l’Écologie.

Selon Meriem Allier( 8),« la balance éthique penche fortement du côté du diamant naturel : enrichissement des populations locales, salaires et retombées économiques dans les communautés, accès à l’éducation, à l’eau, à la santé, bilan carbone”, efforts constants pour mettre en place leur développement durable, etc. 

Tous ces facteurs sont de nos jours perçus par les consommateurs comme primordiaux (Figure 39, Source Bain&Co (9))

Écologie

C’est là qu’entre en scène le point fort (de contestation) des diamants de synthèses ou LGD !

Un peu de technique

Les deux principales méthodes de fabrication des diamants synthétiques, sont la méthode Haute Pression et Haute Température (HPHT) ou le Dépôt Chimique en phase Vapeur (CVD). 

HPHT (Haute pression, haute température) où la croissance de la gemme se fait dans des presses industrielles sous haute pression (plus de 55 000 fois la pression atmosphérique) et à haute température (environ 1200-1500°C), correspondant à une profondeur de 140-240kms sous la terre, de façon assez semblable au processus naturel.

CVD (Dépôt Chimique en phase Vapeur) où la croissance s’opère couche après couche à partir d’un substrat en silice ou en diamant. Dans des réacteurs en phase vapeur, un mélange d’hydrogène et de méthane à basse pression (0,1 atm) et à des températures autour de plus de 800-900°C est ionisé par une décharge micro-onde qui crée un plasma dans la chambre de croissance. Cette méthode crée des diamants plus purs et blancs qu’en HPHT.

A noter qu’il existe également des méthodes pour modifier la couleur des diamants naturels souvent de faibles qualités et couleurs, en utilisant l’irradiation ou même le procédé HPHT, afin d’obtenir des diamants blancs ou carrément en « Fancy Colors » (couleurs marquées, par ex. jaunes, bleus, etc.).

D’autres méthodes sont en train de voir le jour, notamment pour la fabrication de nano-diamants, à usage industriel, scientifique, et possiblement médical, comme par exemple les diamants composites en 3D de la société suédoise Sandvik Additive Manufacturing, ou encore la méthode de modification de la cristallisation du « Carbone Q » (sur le systême cubique du diamant), aussi appelé « Carbone Trempé », mis à jour en 2015 et qui promet de beaux développements (10).

Comme expliqué précédemment, le plus utilisé des procédés reste le HPHT (99% de la production de LGD), bien que le CVD ait connu des avancées notables permettant de produire des pierres plus grosses, pures et blanches avec des coûts de production qui sont passés de 4000$/carat en 2008 à moins de 500$/carat (environ comme le HPHT) de nos jours. Récemment la plus grosse pierre jamais produite en CVD, de 12.75carats, a été certifiée par le laboratoire International Gemological Institute (IGI).

Portés au départ par un Leonardo Di Caprio, investisseur éclairé et acteur du fameux « Blood Diamonds », qui avait placé l’univers du diamant sous les feux des projecteurs de la critique internationale pour cet usage des diamants comme monnaies d’échanges dans des pays en conflits, les LGD semblent alors répondre immédiatement à 2 problèmes cruciaux de la filière diamantaire classique: ils ne sont engagés dans aucun conflit sur les terrains diamantifères, puisque produits industriellement n’importe où, et ils ont un impact négatif très faible sur la planète, présentés alors comme des diamants « verts » ou « green diamonds », donc écologiques.

Du point de vue des « RSE » (« ESG » en anglais, Environmental, Social and Governance), la question est assez simple : il suffira de visiter les usines pour en faire l’audit, un audit beaucoup plus aisé que celui des grandes minières, multi-sectorisées et employant des millions de personnes directement et/ou indirectement liés au diamant ; par ailleurs, l’impact « visible » sur l’environnement n’est en rien comparable à celui des trous béants laissés par l’exploitation minière traditionnelle !

Le message est donc limpide :

« Acheter du LGD ! Choisir du synthétique c’est choisir de l’éthique et de l’écologique »

Ainsi, motivé par ces arguments, et peut-être aussi par les parts qu’il a investi dans la société « Diamond Foundry », un des leaders américains dans la production de LGD, Monsieur Di Caprio se fait le chantre du LGD, et participe à son « Hollywoodisation » (d’autres stars le suivront), ce qui n’est pas peu dire puisque les USA sont les premiers consommateurs mondiaux de LGD (pour rappel LGD= « Lab-Grown Diamonds » – Diamants Synthétiques), dont environ 80% des ventes sont réalisées sur le territoire américain !

Pour renforcer son image, « Diamond Foundry » crée une unité américaine qu’elle fait certifier «100% Carbon Neutral », par un organisme indépendant reconnu et viable, devenant ainsi, selon ses dires, la toute première à produire du diamant synthétique avec une empreinte carbone nulle.

MAIS, les unités « propres » comme celles de Diamond Foundry sont extrêmement minoritaires et peu « impactantes » en termes de volumes produits, par rapport aux producteurs géants que sont la Chine et l’Inde réunies (55-70% de la production globale de LGD), et d’autres pays tels que la Russie, Singapour, l’Angleterre (15-20%) et enfin les USA (10-15%), Bain & Company, The Global Diamond Report 2020-21 (9).

Dans cette logique écologique, Dale Vince, le fondateur du fournisseur d’énergie-verte Ecotricity, utiliserait pour ses “Sky Diamonds” le dioxyde de carbone capté directement de l’atmosphère pour former des diamants synthétiques en utilisant l’électricité éolienne et solaire, avec de l’eau recueillie à partir des précipitations. Le résultat serait le « premier diamant sans impact carbone au monde », voire avec un impact carbone négatif car il pourrait même aider à purifier l’air en éliminant directement le dioxyde de carbone de l’atmosphère (11).

Si d’autres sociétés, à l’image de « Diamond Foundry » et Ecotricity, se mettent à utiliser des énergies renouvelables pour alimenter leurs installations, et compensent de différentes manières leurs émissions carbones inévitables (eau, transports, etc.), la plupart des fabricants de diamants synthétiques en sont très loin, notamment ceux qui produisent des petites pierres et utilisent encore massivement de l’énergie au charbon ! Or ces sociétés, principalement chinoises, indiennes, russes, font assez volontiers fie des contraintes écologiques, restent souvent très opaques et sont par conséquent difficiles à contrôler.

Dans cet article de S.Goldberg (12), « Paul Zimnisky, analyste de l’industrie, affirme que la plupart des diamants HPHT sont produits en Chine qui tire 55 % de son énergie du charbon et 20 % de l’hydraulique. En Inde, autre grand producteur, 75 % de la puissance électrique provient du charbon et 10 % de l’hydraulique. Singapour, le pays où est installé « Iia », utilise également peu d’énergies renouvelables ». Savoir et révéler quel est le % réel d’énergies renouvelables utilisées par chaque société productrice de LGD est en effet encore un défi non-relevé par la plupart d’entre elles ; comme le dit S.Goldberg, avec cette comparaison : « si un biscuit contient 30 % de sucre en moins, cela n’en fait pas un aliment sain ».

La consommation d’énergie (fossile, nucléaire et autres) nécessaire étant donc très importante, comme elle l’est en eau, soit plusieurs milliers de litres pour 1seul carat de CVD par ex., il devient dès lors très difficile de ne pas assimiler le LGD à un pur produit industriel, qui ne s’absout pas des travers conséquents à toutes les productions de masse.

Le diamant synthétique commence à perdre en image, puisqu’il n’est plus du tout ce produit écologique qu’on a voulu nous vendre.

Dans une interview (13), Martin Roscheisen, pourtant CEO de « Diamond Foundry » (producteur de LGD), expliquait que la plupart des vendeurs de diamants synthétiques n’ont jamais réalisé la mesure de l’impact environnemental de leur propre production, même si cela leur a été réclamé depuis des années ; « ce qui signifie qu’il est possible, et même probable, que de nombreux clients aient acheté un produit soi-disant « écologique », qui aggrave en fait le changement climatique. »

Consciente du problème que pose l’auto-attribution des termes « écologique », « green diamonds », etc., par toutes les sociétés traitant les LGD, la FTC américaine (Federal Trade Commission) a précisément averti les sociétés et revendeurs faisant du LGD ( lettre adressée à 8 grands professionnels de la branche LGD en 2019 (14&17) ) qu’ils ne devaient pas utiliser des « prétentions d’avantages environnementaux généralistes » comme « écologique » ou « durable » pour décrire les diamants synthétiques, sans justification (22): effectivement, ce message, non-vérifié la plupart du temps, restait pourtant dans l’esprit des consommateurs qui utilisaient ensuite souvent ces expressions pour qualifier ce genre de diamants artificiels, et ceci en les opposant mentalement aux diamants naturels.

Sept grands groupes miniers (représentant à eux seuls plus de 75 % de la production mondiale de diamants bruts) ont décidé de prendre la parole. Ensemble, ils financent le « NDC », Natural Diamond Council (ex-DPA) et créent une plateforme informative destinée aux consommateurs, www.naturaldiamonds.com (15), affichant une nouvelle stratégie consistant à prouver la solidité des engagements écologiques et éthiques mis en place par ces géants de l’exploitation minières(18).

Selon les estimations du rapport Trucost-Total Clarity (*7), commandé par la DPA (NDC), les émissions de gaz à effet de serre pour la production de diamants naturels seraient trois fois moins importantes que celles liées à la fabrication des pierres de synthèse, soit 160kg pour les naturels contre 511kg pour les synthétiques.

Le rapport relève par ailleurs que les investissements faits par les membres de la DPA en matière d’environnement, leur permettent de créer des zones naturelles protégées 3 fois supérieures à celles qu’ils exploitent, et qu’ils recyclent 83% de l’eau qu’ils utilisent dans l’extraction. 

La DPA travaille aussi avec la Géologue Dr. Evelyn Mervine (*7), sur un ambitieux projet de captage du dioxyde de carbone : grâce à un processus appelé «carbonatation minérale», par lequel certains types de roches extraites, comme la Kimberlite, peuvent agir comme une éponge, en prenant le dioxyde de carbone de l’atmosphère et en le bloquant loin dans un matériau solide sûr et non toxique : il suffirait alors que seulement 10% du captage de Co2 par la Kimberlite soit activés pour amener la mine entière à un bilan carbone zéro !

Une argumentation détaillée du secteur du diamant naturel qui vient mettre à mal l’argument écologique avancé par le secteur de la production des diamants synthétiques, qui pris dans son ensemble, ne peut pas justifier officiellement même d’un « bon bilan carbone », à défaut d’avoir un « véritable bilan carbone neutre ». Pensé dans sa globalité, et tant qu’il ne fournit pas de grands efforts en la matière, le bilan carbone du secteur LGD est juste médiocre.

Les initiatives réelles de « Sustainability » de la filière du LGD restent effectivement ultra-minoritaires, et l’impact écologique global de la production de LGD, comme vu précédemment, très critiquable. En réponse à cet état de fait, « le Lab Grown Diamond Council (LGDC) va créer la première certification de développement durable pour des diamants ; une fois le processus terminé, les entreprises admissibles recevraient un certificat « Diamant synthétique durable SCS (16) ». 

Si la filière du LGD scande un message de développement durable et de diamant écologique qui est globalement mensonger, mise à part l’exception notable de quelques sociétés, la filière du diamant naturel a dû pour sa part faire de gros efforts en matière de communication, peinant à promouvoir durant les 15 années passées, et pour celles à venir, les avancées colossales qu’elle a réalisées autour du développement d’une extraction propre.

Il reste par conséquent beaucoup de travail à faire des 2 côtés :

-Au niveau du diamant synthétique, pour donner de la transparence à son activité, enclencher les processus de certification (Sustainability Grown Diamond Certification par la SCS), pour contrôler de près les acteurs de la filière qui donnent de fausses, mauvaises ou incomplètes informations, afin de ne pas discréditer toute la filière.

-Au niveau du diamant naturel pour que le secteur mette en avant et poursuive tous ses efforts pour encadrer pleinement sa dynamique vers l’éthique, le social et l’environnement, communique mieux (au-delà des fastidieux rapports qui ne s’adressent au final pas au grand public) et davantage, particulièrement aux générations Y et Z, pour affirmer ses qualités et ses différences fondamentales avec le secteur du synthétique et enfin développe le digital, tant pour l’optimisation des stocks et la traçabilité, que pour mieux accéder aux nouvelles générations (9).

L’aspect de différenciation « écologique » entre les 2 secteurs étant évacué, il reste à définir les autres aspects qui les séparent.

A diamond is forever », la phrase-star de la « De Beers », reste dans nos mémoires mais ne fait plus beaucoup de sens, tant elle pourrait être utilisée par la filière du naturel comme par celle du synthétique ; car nous l’avons dit, « un diamant est un diamant, quelle que soit son origine naturelle ou non » :

Notre regard se porte alors sur la question de sa valeur, une valeur sentimentale qu’on peut lui donner, en l’offrant sur un bijou par exemple, ou une valeur commerciale, et pourquoi pas une valeur sentimentale ET commerciale/financière.

C’est aussi sur ce terrain de la « valeur » que se joue la grande bataille entre naturel et synthétique.

Alexandre MARTIN

Diamantaire et gemmologue 

Société « Mediam Suisse » – Neuchâtel – Suisse

Bibliographie-Références 

(0) GIA Archives, Publication Winter 1938, « Supposed Synthetic Diamonds Tested »

(1) Article de Tiffany Stevens, “ When talking about diamonds, words matter ”, naturaldiamonds.com

(2) Association Collectif Diamant 

(3) Article de Ehud Arye Laniado, « The History of Lab Grown Diamonds » ,17 May 2017, ehudlaniado.com

(4) De Beers Group, BPP

(5) Responsible Jewellery Council, RJC

(6) DDI-RESOLVE, Responsible Artisanal Mining et création de la DDI 

(7) Diamond Producers Association (DPA) report “The Socioeconomic and Environmental Impact of Large-Scale Diamond Mining” , May 2, 2019, rédigé par Trucost ESG Analysis, + le “Total Clarity”report” issu du (7), + l’article de Lauren Gray, Edelman.com « First-ever comprehensive report(…)for further improvment », commentant le (7).

(8) Article de Meriem Allier, « La bataille informationnelle que se livrent les acteurs du diamant synthétique et du diamant naturel », Ecole de Guerre Economique, www.ege.fr

(9) Rapport “Brilliant Under Pressure: The Global Diamond Industry 2020–21”, Olya Linde, Ari Epstein, Sophia Kravchenko, et Karen Rentmeesters, Fev 8, 2021, rapport réalisé par Bain & Company, avec le concours du Antwerp World Diamond Center (AWDC)

(10) Article de Sophie Hoguin, « Fabrication de diamants de synthèse : 3D, lasers, les technologies innovent » 21 novembre 2019 dans Matériaux, Biotech & chimie, techniques-ingenieur.fr

(11) Article de John Jeffay, A Tale of Two Lab-Grown Enterprises, IDEX online

(12) Article de Sylvain Goldberg, avril 8th, 2019, « Les synthétiques sont-ils vraiment écologiques ? »

(13) Article de Rob Bates, « Les diamants naturels et synthétiques doivent cesser de se battre », traduit et diffusé par l’excellente équipe de Rubel & Ménasché , La Lettre R&M

(14) Federal Trade Commission letter to synthetic producers, March 26, 2019 & April 2019 “Warning letters re-”mined” diamond sellers to describe products accurately”, voir aussi les “200615_JVC_FTC-Guidelines”

(15) Natural Diamond Council (Ex-DPA) www.naturaldiamonds.com

(16) Article « Les synthétiques pourraient obtenir un label développement durable », traduit du Rapaport News et diffusé par l’excellente équipe de Rubel & Ménasché, La Lettre R&M

(17) Article de Rob Bates “FTC Warns Lab-Grown Diamond Companies About Marketing”, April 2, 2019, jckonline

(18) Article de Hervé Dewintre, « Le diamant contre-attaque », 25/01/2021, lepoint.fr

(19) Article de Avi Krawitz, “Synthetics vs. Natural: The Battle over Value”, Nov 13, 2019, Diamonds.net, Rapaport

(20) Articles de Joshua Freedman, “De Beers Sightholders Embracing Synthetics, Miner prepares new guidelines for clients with lab-grown businesses”, Nov 12, 2019, “De Beers issues synthetics guidelines”, Dec 18, 2019,Diamonds.net

(21) De Beers – Guidance “Undisclosed Synthetic diamonds”- 

(22) Article de Rob Bates, JCK Online, « De plus en plus de détaillants vendent des diamants synthétiques », 10.11.20, traduit et diffusé par l’excellente équipe de Rubel & Ménasché, La Lettre R&M

(23) Article de Rachel Taylor « Marketing des synthétiques : un message aux multiples facettes », traduit par l’admirable équipe de Rubel et Ménasché

(24) Article de Valérie Xandry, La vérité sur les diamants de synthèse qui bousculent la joaillerie, Challenges.fr

(25) Dossier de Élise Rousseau, « Le Processus de Kimberley et la lutte contre le commerce des diamants de sang », courrier hebdomadaire du CRISP 2017/28-29 (n° 2353-2354), cairn.info

Autres articles consultés :

Article de Bryan Hood, « Lab-Grown Diamonds Are Now a $280 Million Business », sur Robb Report, 22 mai 2019 

Newsletters, articles et traductions d’articles (la lettre R&M) de et par Rubel & Menasché

Communiqué de presse de “Collectif Diamant”, Jean-Marc Lieberherr , Union BJOP, avril 2019

Article du Natural Diamonds Council, “The Earth. For the Earth

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